La tendance minimaliste ou la slow life assumée

S’il existe une tendance décorative qui tend vers un art de vivre, c’est bien le minimalisme. La simplicité qui émane de ce style va clairement à contre-courant du consumérisme dans lequel on baigne. Loin d’être un mouvement informel, le minimalisme s’inscrit même dans un effort écologique et se positionne contre la connexion envahissante. Alors, fermez les yeux, prenez du sable fin dans vos mains, des galets aux formes douces, un petit râteau… et imaginez-vous déambuler dans un jardin japonais zen à la rencontre d’un maître en minimalisme et méditons ensemble sur l’essentiel ! Une large gamme de lames de parquet pvc adhésives.

Less is more !

Il faut remonter dans les années 60 pour assister à la naissance du courant minimaliste. Sorti du ventre de la célèbre école d’art allemande du Bauhaus (instigatrice des principaux mouvements architecturaux du siècle dernier), son père fondateur Ludwig Mies Van der Rohe, architecte militant, prône un retour vers plus de sobriété et qualifie même le minimalisme de “Less is more” (moins, c’est mieux); c’est dire. Un concept qui, à notre époque, fait sens et rallie à sa cause de plus en plus d’adeptes. Car le minimalisme s’oppose à une consommation débridée, met en avant un retour à l’essentiel et affiche ouvertement sa lutte contre le superflu. Plus qu’un style, on peut parler de mouvement néo-minimaliste qui nous donne une ligne de conduite à suivre pour nous guider dans le dépouillement du futile et accéder ainsi à une vision plus essentielle de nos schémas de vie.

Depuis sa création, le minimalisme évolue et emprunte des inspirations scandinaves et nippones avec un naturel évident qui nous mènent directement au bien-être. De nos jours, il est devenu un style de vie à part entière dans lequel on limite nos possessions au minimum raisonnable pour vivre confortablement. Loin des affres d’un système de consommation tentant et séducteur, la logique indéniablement sobre du minimalisme se pose en solution dans la quête du bonheur. Et comme le dit si bien Baloo du “Livre de la jungle”, il en faut donc peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux, sachez vous satisfaire du nécessaire ! Oui, chez monrevêtement.fr, on connaît nos classiques !

Faire le vide dans sa tête

La légèreté de l’être, c’est ce que suggère la tendance minimaliste. En partant du principe de considérer l’avantage de posséder un objet, on peut avancer l’argument du bénéfice à ne pas le posséder. On frise la théorie du vide ! Plus sérieusement, le concept de dépouillement minimaliste, au final, brouille les us et les coutumes établis. Car, qui possède peu, dispose de beaucoup : d’espace de vie, de la liberté à gérer peu, de satisfaction d’avoir déjà des biens et de s’en contenter.

Nous vivons dans un monde matériellement surchargé et hyper-connecté, le minimalisme s’inscrit ainsi dans une démarche saine de réduction et de désencombrement de nos biens. D’ailleurs, les livres, les blogs et les émissions se multiplient sur le sujet et prônent le minimalisme comme une solution écologique aux dysfonctionnements actuels de consommation. La publicité est désormais perçue comme mensongère et, par un détachement nouveau, la quête du bonheur ne passe plus par le pouvoir d’achat, mais par le pouvoir d’être soi.

La théorie du vide

L’accès au minimalisme passe, en amont, par des étapes d’épuration du lieu de vie. Les espaces sont traités un par un avec une méthodologie précise. En s’occupant du matériel superflu de prime abord, on visualise mieux le désencombrement à opérer. Trier les jouets, offrir des livres, donner des vêtements ou de la vaisselle… sont un ensemble d’actions qui allègent peu à peu l’esprit tout en mettant en valeur vos possessions les plus belles, sentimentales et précieuses à vos yeux.
Considérez un instant les murs : cadres photos, posters et tableaux, papiers peints intissés surchargent les murs et créent un sentiment d’oppression. Sans retirer de votre personnalité affichée ou vous priver de vos souvenirs, un mur nu est un tableau à créer : un seul élément accroché apaise tout en donnant une cohésion d’ensemble au minimalisme adopté.
Côté ameublement, le principe de base est la conservation d’une fluidité de mouvement à l’intérieur de chez soi. Pour cela, le choix et l’agencement du mobilier sont essentiels. Les gros meubles sont plus fonctionnels que la multiplication des petits !

Le design minimaliste

A contrario du style Pop Art, le minimalisme boude les couleurs criardes et préfère la mise en avant des couleurs neutres tels le beige, le grège, le blanc et lin. Par un effet d’optique, les tons clairs subliment la lumière entrante et accentuent le sentiment de bien-être. Le choix judicieux des couleurs des murs permet à la luminosité naturelle de pénétrer et de circuler à son aise. Les couleurs ne sont pas bannies pour autant, car, par effet de contraste, les meubles ou décorations aux teintes plus éclatantes sont ainsi révélés et mis en valeur. Nous vous proposons de nombreux revêtements muraux et revêtement de sol dans cet esprit.

Pour coller au plus près de concept minimaliste “Less is more”, le mobilier est réduit à l’essentiel pratique. Les meubles se fondent naturellement dans les intérieurs avec leurs lignes épurées, leurs couleurs discrètes et leur confort préservé. Physiquement donc, la matière est réduite au nécessaire pour une vie agréable. La recherche d’une certaine linéarité et d’un rectiligne spécifiques ajoutent à l’ambiance épurée. Dans le minimalisme, les fioritures et les courbes sont mises au placard !

Dans un intérieur inspiré de la tendance minimaliste, l’organisation va de soi. Les rangements sous forme de tiroirs ou niches dans le mobilier permettent une organisation consciente. Sur les étagères, les objets du quotidien sont déposés et les bibelots inexistants. Les tiroirs accueillent journaux et revues pour ne plus encombrer tables et consoles. Le mobilier minimaliste, se fondant dans le décor, permet une organisation soigneuse grâce à ses rangements intégrés fermés. Ils permettent de dissimuler au regard tous les objets qui ne trouvent pas grâce de beauté à vos yeux. Toutefois, les éléments de décoration qui ravivent joie et enthousiasme en vous sont disposés selon votre intuition.

Le lagom, héritier du minimalisme

Originaire de Suède, le lagom s’inscrit dans la même dynamique d’épuration du minimalisme. Le concept est similaire : intégrer chez soi seulement ce dont on a besoin. À la différence du minimalisme plus formel et rigide, le lagom autorise une plus grande liberté de possessions. Le superflu reste nuisible au bien-être, mais, disons, que le lagom autorise de garnir son intérieur avec son cœur. Et si moins posséder nous menait vers la Liberté ?

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